[#ANCHOR_sommairestades]
[#ANCHOR_sommairestadescholet]
[#ANCHOR_sommairestadessaumur]
[#ANCHOR_sommairestadessegre]
[#ANCHOR_sommairestadestrelaze]
[mailto:anjou.foot@laposte.net]
[./index.html]
[./page_11.html]
[./page_2.html]
[./page_3.html]
[./page_4.html]
[./page_5.html]
[./page_6.html]
[./page_7.html]
[./page_8.html]
[./page_9.html]
[./page_21.html]
[./page_22.html]
[./page_23.html]
[./page_24.html]
[./page_10.html]
[./page_25.html]
[./anjou..._foot_21_2d_le_football_des_jeunes_et_des_vieux_en_anjou.html]
[./page_26.html]
[./page_31.html]
[./page_32.html]
[./page_34.html]
[./page_35.html]
[./page_36.html]
[./page_42.html]
[./page_43.html]
[./page_41.html]
[./page_53.html]
[./page_52.html]
[./page_51.html]
[./page_1.html]
[./index.html]
[http://musee-numerique.com/trelaze/sports/sports/]
[Web Creator] [LMSOFT]
Aux temps héroïques, disposer d’un terrain était la principale préoccupation des "foot-ballers". Il s’agissait le plus souvent d’un simple champ sommairement aménagé (ni tribunes ni vestiaires, bien sûr) dont ils pouvaient être évincés d’une saison à l’autre. A Angers, le grand tournant remonte certainement à 1913. Alors que se posait déjà la question d’un "grand stade" municipal, l’industriel Bessonneau construisit ses propres installations qui passaient pour être parmi les plus belles de France : il en reste l’actuel stade Raymond-Kopa ! Si certains clubs furent propriétaires de leur stade (Vaillante, Intrépide), la plupart ont utilisé les terrains mis à disposition par la Ville.

Le stade de la Grande-Chaussée : historiquement au 161 rue de la Chalouère (aujourd'hui au 165), entre les quartiers Saint-Serge et Monplaisir, il appartient longtemps à la Vaillante qui y pratique depuis au moins 1908. C'est le plus vieux stade de football d'Angers encore existant. Il est municipal depuis la fin des années 1970. L'éclairage est installé en 1987 et la pelouse synthétique en 1995.

Le stade de la Petite-Fontaine : situé près de la route de Paris (aujourd'hui avenue Pasteur), juste avant le pont de chemin de fer, vraisemblablement à l'emplacement de l'actuelle école Henri-Chiron. Il appartenait à l'un des plus vieux clubs d'Angers, le Racing Club Angevin.

Le stade de l'A.U.C. : situé chemin des Banchais près de l'octroi de la route de Paris, contre la voie de chemin de fer, c'était le plus beau stade d'Angers jusqu'à la réalisation du stade Bessonneau mais la moindre pluie le transformait en piscine. Il appartenait à Angers Université Club.

Le stade Raymond-Kopa, précédemment Jean-Bouin et plus anciennement stade Bessonneau ou stade de la rue Saint-Léonard, au sud-est du centre-ville d'Angers. Construit dès 1913 - il est alors hors de la ville - par Julien Bessonneau pour faciliter les pratiques sportives par ses employé(e)s membres du Club Sportif Bessonneau, il est d'emblée le plus beau stade de la ville. Il accueille de nombreuses activités sportives (athlétisme, football, basket-ball, tennis…) et en particulier les matches du fameux Club Sportif Jean-Bouin puis, à partir de 1945, celles du Sporting Club de l'Ouest devenu professionnel. En graves difficultés financières, les Etablissements Bessonneau le vendent à la Ville d'Angers (1955) qui, après leur disparition (1966) le renomme stade Jean-Bouin : hommage au célèbre athlète marseillais Jean Bouin (1888-1914) qui fut champion du monde et vice-champion olympique de fond avant de "mourir pour la France" en 1914, mais aussi au Club Sportif Jean-Bouin qui en fut l'occupant. En 2017, la Ville décide de donner au stade le nom de Raymond Kopa (1931-2017), joueur de réputation mondiale mort à Angers quelques jours auparavant et qui avait fait ses débuts professionnels au S.C.O. (1949-1951). Presque exclusivement utilisé par le Sporting Club de l'Ouest, il s'agit d'un grand stade (environ 20.000 places selon les périodes) capable d’accueillir les matches professionnels. Son record de fréquentation date de 1969 (demi-finale de Coupe de France contre Marseille) avec près de 23.000 spectateurs. Son entrée principale se trouve désormais boulevard Pierre-de-Coubertin. Il comporte quatre grandes tribunes : Jean-Bouin (1978) qui s'est substituée à la tribune d'origine, Colombier (1993, agrandie et couverte en 2017), Saint-Léonard (où trois générations de tribunes couvertes se sont succédées : une grande tribune à deux niveaux en 1957, une tribune tubulaire provisoire en 2007 et la nouvelle tribune d'honneur en 2022), et Coubertin (2010, tubulaire et couverte) en lieu et place de la butte des années 80.

Le stade André-Bertin, anciennement stade Fortin puis stade du Crédit de l’Ouest : situé rue Saint-Lazare (aujourd'hui avenue René-Gasnier, du nom d'un célèbre aviateur), il est construit en 1920 par le Crédit de l'Ouest qui le loue au Sporting Club de l'Ouest dont il est à l'origine. Il cesse d'accueillir de grand matches à partir de 1945, date à laquelle l'équipe première du SCO devenue professionnelle utilise exclusivement le stade Bessonneau du Club sportif Jean-Bouin. En 1965, le Crédit de l'Ouest le cède à la Ville d'Angers qui le rénove entièrement et lui donne le nom d'André Bertin, le grand président du SCO omnisport des années vingt et trente et figure du monde économique angevin. Les équipes amateurs du SCO continuent d'y pratiquer jusqu'à leur installation au stade du Lac-de-Maine. Lui était accolé le stade des Gouronnières utilisé par Notre-Dame-des-Champs, que la Ville a longtemps loué à l'Association d'éducation populaire du quartier Ste-Thérèse avant de l'acquérir. Il a disparu lors de la réorganisation du quartier au début des années 2010.

Le stade du Grand-Malmouche était situé non loin de l'actuel stade de l'Arceau, à la limite d'Angers du côté de Saint-Barthélémy-d'Anjou, sur un site désormais occupé par un grand mgasi de matériel de bricolage. Il semble que le Club sportif Jean-Jaurès y avait ses habitudes avant de devenir trélazéen. (Merci à M. Georges Cadieu pour la localisation exacte.)

Le stade de Frémur, le long de la rue du même nom (qui mène au lieudit Frémur), est un des plus vieux stade d'Angers. La Ville en fait son premier stade municipal en l'achetant à l'Intrépide en 1931. Bien plus tard, il est doublé d'un second terrain légèrement en surplomb. En 2017, l'Intrépide y fait son retour aux sources après avoir quitté Salpinte à son tour vendu à la Ville.

Le stade de Salpinte : à la fin des années 1940, l'Intrépide quitte le quartier Saint-Laud et aménage son nouveau stade à Salpinte, aujourd'hui rue Gabriel-et-Julien-Alix. Le club le cède à la Ville en 2016. Il est désormais (2021) utilisé par le SCO.

La promenade de la Baumette accueille du football depuis au moins la fin des années 1940. Dès cette époque, plusieurs terrains de football occupent la partie qu'utilise le SCO de nos jours. Plus près du centre ville, en contrebas du boulevard de l'Ecce Homo, la Ville aménage à la fin des années 1950 le complexe sportif comportant une piscine, un stade d'athlétisme, des terrains de football et rugby. Plus tard, après remblaiement, les installations de la Baumette et de l'Ecce Homo sont reliées par d'autres équipements sportifs. Des locaux construits par la Ville accueillent le centre de formation du SCO en 1992. Le club y installe son centre d'entraînement professionnel rénové et son siège social en 2014.

Le stade du C.U.A. était situé près du cimetière de l'Est, entre le boulevard des Deux-Croix et les actuelles rues Desbois et Haffner. (Merci à M. Georges Cadieu pour cette indication.)

Le stade Paul-Robin aménagé au milieu des années 1950 porte le nom du principal dirigeant de l'Athletic Club Belle-Beille.

De même le stade Marcel-Nauleau de Verneau, alors récent (il date de 1964), prend en 1966 le nom du fondateur de Verneau Amical Club, brutalement décédé quelques mois plus tôt. Il a été déplacé lors la transformation du quartier devenu les Hauts-de-Saint-Aubin.

Construit près du vélodrome Montesquieu en 1975, le complexe sportif du Lac de Maine comporte le stade Josette-et-Roger-Mikulak et plusieurs terrains annexes. Le stade, doté d’une piste d’athlétisme et d’une tribune de plusieurs milliers de places édifiée à la fin des années 1990, a accueilli les championnats de France d’athlétisme en 2005, 2009, 2012, 2016 et 2021, et hébergé le S.C.O. durant quelques mois en 2000. Il a pris la place d’André-Bertin comme deuxième stade d’Angers. Son nom adopté en 2016 rend hommage à un couple célèbre dans le monde sportif angevin, animateur pendant de longues années de l'Office municipal des sports d'Angers et mais aussi actif dans l'athlétisme départemental.

Le stade de l'Arceau : construit dans le quartier du même nom, près des Banchais, à l'est d'Angers, en 1973. Utilisé par la Croix-Blanche.

Le stade de la Baraterie : rue Emmanuel-Camus, à l'extrême sud-est d'Angers, près des Ponts-de- Cé. Aménagé en 1984, passé au synthétique en 1993. Utilisé par le S.C.A.

Autres stades actuels ou disparus : le terrain de la Singerie, route de Paris, utilisé par l'Elan- Sports dans les années 1910, celui du Champs des Martyrs, le terrain de la route de Nantes où le SCO disputa son tout premier match en 1919, le stade Vélodrome ou vélodrome Montesquieu dans le quartier Saint-Jacques, le stade de La Roseraie (aménagé en 1968), le stade de La Roseraie sud (1973), le stade Marcel-Denis de Monplaisir (1971), le stade de Villoutreys à Saint- Léonard, le stade de l'Espérance, le stade du Capitaine-Albrecht.
  
STADES DE SAUMUR

Nota : le stade Millocheau se trouvait à l'emplacement du mot "disparu" et non dans le cercle.
  
STADES DE CHOLET
  
  
STADES DE SEGRÉ
STADES D'ANGERS
Cliquez sur la rubrique de votre choix :

 stades d'Angers
 stade de Cholet
 stades de Saumur
 stades de Segré
 stades de Trélazé
 
Pour toutes les photos aériennes de cette page, copyright IGN
(Institut géographique national)


les stades en Anjou

Pour nous écrire :
anjou.foot@laposte.net
Le terrain du Moulin-Marcille était utilisé par l'Union sportive trélazéenne dès avant la première Guerre mondiale. Il sera encore utilisé durant l'entre-deux-guerres.

Le stade de La Trousselière a été aménagé en 1939, entre la rue Jean-Jaurès et une voie de chemin de fer. Il appartenait aux Ardoisières et hébergeait "leur" club, les gars d'Armor. Après- guerre, il a été utilisé par le Club sportif Jean-Jaurès puis par l'A.S.C. des Plaines. En 1968, acquis par la Ville de Trélazé, il est réorienté (passage de l'axe nord-sud à l'axe est-ouest) et prend le nom de stade municipal Léo-Lagrange, du nom du secrétaire d'Etat à la jeunesse et à l'organisation des loisirs du Front populaire mort au combat en 1940. Il est démoli en 2004.

A Trélazé, le stade de l'Union a été celui du Foyer de l’Espérance de 1954 à 2002. Chose étonnante, il avait été auaparavant celui de son rival l'Eglantine sous le nom de Francisco-Ferrer, hommage des dirigeants de l'Eglantine à l'illustre militant progressiste catalan (1859-1909). Situé en plein centre-bourg, à quelques pas de la mairie et derrière l'église Saint-Pierre, le terrain de football a été démoli pour faire place à un programme immobilier.

Le stade Daniel-Rouger est le lieu d’action de l’Eglantine sportive trélazéenne depuis 1954. Il porte le nom d’un des fondateurs du club, instituteur à Trélazé, mort au combat durant la Seconde guerre mondiale. Il est situé à la limite des Ponts-de-Cé.

Le stade Bernard-Bioteau, du nom d’un ancien président de l’Eglantine, propriété de la commune de Trélazé, s’insère dans un complexe sportif situé sur une friche ardoisière à proximité du centre-bourg et doté d’un terrain annexe et du terrain d’honneur. Il héberge le Foyer de l'Espérance depuis 2002.

Le stade de la Goducière est aménagé en 1971. Le complexe sportif comporte notamment une piste d'athlétisme et une piscine. Il a été utilisé par l’A.S.C. des Plaines.
  
Le stade omnisport de Cholet (photo de gauche), construit à quelques centaines de mètres seulement du stade Pierre-Blouen a l’avantage d’être plus moderne et plus spacieux ; il dispose d’une grande tribune. Revers de la médaille : sa piste d’athlétisme éloigne les spectateurs. Le Stade Olympique Choletais y a disputé son unique saison en Deuxième division nationale (1975-76).

Pierre Blouen était le capitaine du jeune Club Olympique Choletais. Il fut tué au champ d’honneur durant la Première Guerre Mondiale. Le stade qui porte son nom (photo de droite) était déjà utilisé à cette époque. Il fut longtemps le terrain du C.O. Choletais puis du S.O. Cholet, avant d’être remplacé par le stade omnisport. Il a fait l’objet en 2006 d’une transformation par la Ville de Cholet avec la pose d’une pelouse synthétique.

Le stade Henri-Jousse est l'antre de l'Etoile Sportive Saint-Pierre. La Jeune France, quant à elle, pratiquait au stade Auguste-Grégoire avant de rejoindre le stade de l'Aérodrome.

Autres stades : Chambord (Les Turbaudières), La Girardière, Joachim du Bellay (La Choletière), René- Demiannay (Europe), Bordage Fontaine, Bordage Luneau, Rambourg, La Treille, Le Bois-d'Ouin.
A Saumur, l'Olympique Football Club joue au stade des Rives-du-Thouet, anciennement du Chemin-Vert ou de La Marne, au sud de la ville (photo de gauche). Construit en 1975, il a été doté de son actuelle tribune dix ans plus tard.

L'ancien Olympique jouait au stade René-Roussel, à l'extrémité amont de l'Île Offard, au-delà de l'actuel stade omnisport. Les deux terrains de football ont supprimés en 1986 pour laisser place à un camping. En fusionnant avec Bagneux, le club s'est installé au stade de Chantemerle.

A l'autre bout de l'île, côté aval, se trouvait le stade stade Millocheau, du nom d'une ancienne île du même nom. Il était l'antre de la Jeanne-d'Arc et portait le nom de Bernard de Bodman, le capitaine du club dans les années 1930. Les deux terrains de football ont été détruits en 1990 et mis en eau.

L'ASPTT, elle aussi disparue pour ressusciter l'Olympique en 2000, utilisait le stade omnisport de l'Île Offard édfié en 1965 près du stade Roussel (photo de droite). Comme son nom l'indique, il est doté d'une piste d'athlétisme.

Les Portugais de Saumur jouaient quant à eux au stade du Clos-Coutard dans la ville haute, non loin du château.

A Saint-Hilaire-Saint-Florent, "commune associée" à Saumur, la Bayard-Sports pratique au stade Michel-Nepveux. Saint-Lambert-des-Levées, autre "commune associée", possède également son propre stade.
  
  
Le stade omnisport de Cholet, construit à quelques centaines de mètres seulement du stade Pierre- Blouen a l’avantage d’être plus moderne et plus spacieux ; il dispose d’une grande tribune. Revers de la médaille : sa piste d’athlétisme éloigne les spectateurs. Le Stade Olympique Choletais y a disputé son unique saison en Deuxième division nationale (1975-76).

Pierre Blouen était le capitaine du jeune Club Olympique Choletais. Il fut tué au champ d’honneur durant la Première Guerre Mondiale. Le stade qui porte son nom était déjà utilisé à cette époque. Il fut longtemps le terrain du C.O. Choletais puis du S.O. Cholet, avant d’être remplacé par le stade omnisport. Il a fait l’objet en 2006 d’une transformation par la Ville de Cholet avec la pose d’une pelouse synthétique.

Le stade Henri-Jousse est l'antre de l'Etoile Sportive Saint-Pierre. La Jeune France, quant à elle, pratiquait au stade Auguste-Grégoire avant de rejoindre le stade de l'Aérodrome.

Autres stades : Chambord (Les Turbaudières), La Girardière, Joachim du Bellay (La Choletière), René- Demiannay (Europe), Bordage Fontaine, Bordage Luneau, Rambourg, La Treille, Le Bois-d'Ouin.
  
  
Le stade omnisport de Cholet, construit à quelques centaines de mètres seulement du stade Pierre- Blouen a l’avantage d’être plus moderne et plus spacieux ; il dispose d’une grande tribune. Revers de la médaille : sa piste d’athlétisme éloigne les spectateurs. Le Stade Olympique Choletais y a disputé son unique saison en Deuxième division nationale (1975-76).

Pierre Blouen était le capitaine du jeune Club Olympique Choletais. Il fut tué au champ d’honneur durant la Première Guerre Mondiale. Le stade qui porte son nom était déjà utilisé à cette époque. Il fut longtemps le terrain du C.O. Choletais puis du S.O. Cholet, avant d’être remplacé par le stade omnisport. Il a fait l’objet en 2006 d’une transformation par la Ville de Cholet avec la pose d’une pelouse synthétique.

Le stade Henri-Jousse est l'antre de l'Etoile Sportive Saint-Pierre. La Jeune France, quant à elle, pratiquait au stade Auguste-Grégoire avant de rejoindre le stade de l'Aérodrome.

Autres stades : Chambord (Les Turbaudières), La Girardière, Joachim du Bellay (La Choletière), René- Demiannay (Europe), Bordage Fontaine, Bordage Luneau, Rambourg, La Treille, Le Bois-d'Ouin.
  
  
Le stade omnisport de Cholet, construit à quelques centaines de mètres seulement du stade Pierre- Blouen a l’avantage d’être plus moderne et plus spacieux ; il dispose d’une grande tribune. Revers de la médaille : sa piste d’athlétisme éloigne les spectateurs. Le Stade Olympique Choletais y a disputé son unique saison en Deuxième division nationale (1975-76).

Pierre Blouen était le capitaine du jeune Club Olympique Choletais. Il fut tué au champ d’honneur durant la Première Guerre Mondiale. Le stade qui porte son nom était déjà utilisé à cette époque. Il fut longtemps le terrain du C.O. Choletais puis du S.O. Cholet, avant d’être remplacé par le stade omnisport. Il a fait l’objet en 2006 d’une transformation par la Ville de Cholet avec la pose d’une pelouse synthétique.

Le stade Henri-Jousse est l'antre de l'Etoile Sportive Saint-Pierre. La Jeune France, quant à elle, pratiquait au stade Auguste-Grégoire avant de rejoindre le stade de l'Aérodrome.

Autres stades : Chambord (Les Turbaudières), La Girardière, Joachim du Bellay (La Choletière), René- Demiannay (Europe), Bordage Fontaine, Bordage Luneau, Rambourg, La Treille, Le Bois-d'Ouin.
  
  
Le stade omnisport de Cholet, construit à quelques centaines de mètres seulement du stade Pierre- Blouen a l’avantage d’être plus moderne et plus spacieux ; il dispose d’une grande tribune. Revers de la médaille : sa piste d’athlétisme éloigne les spectateurs. Le Stade Olympique Choletais y a disputé son unique saison en Deuxième division nationale (1975-76).

Pierre Blouen était le capitaine du jeune Club Olympique Choletais. Il fut tué au champ d’honneur durant la Première Guerre Mondiale. Le stade qui porte son nom était déjà utilisé à cette époque. Il fut longtemps le terrain du C.O. Choletais puis du S.O. Cholet, avant d’être remplacé par le stade omnisport. Il a fait l’objet en 2006 d’une transformation par la Ville de Cholet avec la pose d’une pelouse synthétique.

Le stade Henri-Jousse est l'antre de l'Etoile Sportive Saint-Pierre. La Jeune France, quant à elle, pratiquait au stade Auguste-Grégoire avant de rejoindre le stade de l'Aérodrome.

Autres stades : Chambord (Les Turbaudières), La Girardière, Joachim du Bellay (La Choletière), René- Demiannay (Europe), Bordage Fontaine, Bordage Luneau, Rambourg, La Treille, Le Bois-d'Ouin.
  
  
Le stade omnisport de Cholet, construit à quelques centaines de mètres seulement du stade Pierre- Blouen a l’avantage d’être plus moderne et plus spacieux ; il dispose d’une grande tribune. Revers de la médaille : sa piste d’athlétisme éloigne les spectateurs. Le Stade Olympique Choletais y a disputé son unique saison en Deuxième division nationale (1975-76).

Pierre Blouen était le capitaine du jeune Club Olympique Choletais. Il fut tué au champ d’honneur durant la Première Guerre Mondiale. Le stade qui porte son nom était déjà utilisé à cette époque. Il fut longtemps le terrain du C.O. Choletais puis du S.O. Cholet, avant d’être remplacé par le stade omnisport. Il a fait l’objet en 2006 d’une transformation par la Ville de Cholet avec la pose d’une pelouse synthétique.

Le stade Henri-Jousse est l'antre de l'Etoile Sportive Saint-Pierre. La Jeune France, quant à elle, pratiquait au stade Auguste-Grégoire avant de rejoindre le stade de l'Aérodrome.

Autres stades : Chambord (Les Turbaudières), La Girardière, Joachim du Bellay (La Choletière), René- Demiannay (Europe), Bordage Fontaine, Bordage Luneau, Rambourg, La Treille, Le Bois-d'Ouin.
  
STADES DE CHOLET
Situé au sud-est du centre-ville, rue de la Porte Baron, le stade Pierre Blouen est semble-t-il depuis toujours le coeur du Club olympique choletais (COC) devenu le Stade olympique choletais (SOC). Pierre Blouen était le capitaine du jeune club et il fut tué au champ d’honneur durant la Première Guerre Mondiale. Le stade a longtemps été propriété d'une société liée au club (nommée Sport & Hygiène !) auquel elle le louait. En 1978, la Ville venue au secours du club a pris le bail et en quelque sorte sous-loué au club avant, en 1993, de devenir propriétaire. Depuis 2006, par un renversement de l'histoire, elle a accordé à son tour un bail de longue durée au club (puis à une société détenue par ce dernier) permettant au SOC de faire les travaux à sa manière. Il y a toujours son siège social et en est le club résident.

Le stade vélodrome rue de l'Oisillonnette était utilisé dès les années 1910. Il appartenait aux Etablissements Bouët et a longtemps été utilisé par la Jeune France (fondée par... Francis Bouët). La Ville l'a acheté en 1955, l'a rénové en 1958 et a supprimé la piste cycliste en 1962 en vue d'aménager une piste d'athlétisme en cendrée. Ces transformations ont été proposées et soutenues par l'adjoint Auguste Grégoire. Lorsque ce dernier est décédé en 1965, son nom a été donné au stade.

Le stade de l'Aérodrome utilisé par la Jeune France après son départ de l'Oisillonnette est situé rue Charles-Lindbergh. Il était détenu par une association diocésaine quand, dans le cadre d'une politique d'achat et de modernisation des équipements sportifs, la Ville de Cholet en a fait l'acquisition en 1982.

De la même façon et la même année, la Ville a acheté le stade Henri-Jousse, antre de l'Etoile Sportive Saint-Pierre depuis 1932, également nommé stade Mariani du nom de l'impasse qui le relie à l'avenue du Maréchal-Leclerc.

Le stade de Rambourg, rue du même nom, a la particularité d'être un ancien cimetière qui fut désaffecté en 1920. Un demi-siècle plus tard le site est transformé en terrain de sport.

A la même époque, en 1970, la Ville acquiert les terrains de La Treille que le Club athlétique Ernault-Batignolles avait sommairement aménagé. Ce parc des sports est progressivement étendu. Depuis la fin des années 2010 existe le projet tantôt privé tantôt public d'y construire un nouveau stade dédié au football qui serait à même d'accueillir les rencontres de haut niveau du SOC.

Le stade omnisport de Cholet ou stade Jean-Bouin, décidé au milieu des années 1960 afin de doter la Ville d'un grand équipement sportif est inauguré en 1972. Situé à quelques centaines de mètres seulement du stade Pierre-Blouen, sur l'autre rive de la Moine, il a l’avantage d’être plus moderne et plus spacieux ; il dispose d’une grande tribune totalement reconstruite en 2006. Revers de la médaille : sa piste d’athlétisme éloigne les spectateurs. Le SOC y a disputé son unique saison en Deuxième division nationale (1975-76) et en temps normal y joue ses matchs du championnat "National".

Pour faire face au boom démographique des footballeurs, deux parcs des sports ont été créés par la Ville de Cholet dans les années 1980 : à l'est le Bois-d'Ouin et au nord-ouest le Bordage Luneau.

Autres terrains de football : Chambord (Les Turbaudières, décidé à la fin des années 1970), La Girardière, Joachim du Bellay (La Choletière), René-Demiannay (Europe), Bordage Fontaine (aménagé au mileu des années 1960).
  
STADES DE TRÉLAZÉ

Pour en savoir plus sur les installations sportives de Trélazé, voir le Musée numérique de Trélazé ici.
L'Entente Sportive de Segré joue au stade de la route de Pouancé, complexe sportif construit à l'ouest de la ville en 1980. Elle jouait auparavant au stade des Mines, à l'est, où pratiquait l'Association Sportive de Segré.
  
"Cependant, il y a des lieux où, même plié, et plus étroitement qu'ailleurs, à la loi d'une collectivité, l'élément humain m'est apparu de bonne heure en pleine gloire : ces lieux prestigieux sont les stades."
Julien Gracq, La forme d'une ville, éd. José Corti, 1985
stade Raymond-Kopa